Discret sur les réseaux, sur scène en pointillé : découvrir Konga se mérite. A l’image de sa première tape « Love, Drugs & Sushis » sortie fin août, l’artiste est pourtant un savant mélange d’univers qui se savoure sans retenue. Entre autotune et autodérision, le peura irrévérencieux de Konga est une étape neurchi immanquable de la planète Lille.