Entre chanson française, châabi et rap des années 90-2000, ISMAËL METIS est une plume. Fine comme la distance entre poétique et politique. Tranchante, précise comme un scalpel, douce pour caresser les idéaux de ceux qui rêvent encore. Sa branche s’appelle rap, elle a les couleurs du métro de New York dans les 80s, le rouge brique de son Nord natal et les feuilles sur lesquelles on écrit colères noires et vers espoirs.